Article fascinant qui mérite d'être complété par une approche neurobiologique du phénomène. Les recherches récentes en neurosciences cognitives révèlent que le blocage mental résulte d'une suractivation du cortex préfrontal dorsolatéral, zone responsable du contrôle exécutif et de l'autocritique.
Le rôle du système nerveux autonome
Le stress chronique active le système nerveux sympathique, provoquant une cascade de réactions physiologiques : augmentation du cortisol, réduction de la dopamine et perturbation des connexions entre l'hippocampe et le cortex préfrontal. Cette dysrégulation neurochimique explique pourquoi certaines personnes développent des stratégies d'évitement face aux défis créatifs.
"La créativité émerge dans les moments de détente neurologique, lorsque le réseau du mode par défaut peut s'activer librement"
Les mécanismes neurobiologiques du blocage mental
Article fascinant qui mérite d'être complété par une approche neurobiologique du phénomène. Les recherches récentes en neurosciences cognitives révèlent que le blocage mental résulte d'une suractivation du cortex préfrontal dorsolatéral, zone responsable du contrôle exécutif et de l'autocritique.
Le rôle du système nerveux autonome
Le stress chronique active le système nerveux sympathique, provoquant une cascade de réactions physiologiques : augmentation du cortisol, réduction de la dopamine et perturbation des connexions entre l'hippocampe et le cortex préfrontal. Cette dysrégulation neurochimique explique pourquoi certaines personnes développent des stratégies d'évitement face aux défis créatifs.
Techniques de déblocage basées…